Penser une ville "enfants admis". Une proposition pour un espace urbain plus inclusif
2019 - BARRICADE - RECHERCHE ET DOCUMENTATION / ÉCRITURE
Si du point de vue statistique les familles occupent une place importante dans la capitale bruxelloise, l’urbanisme leur accorde finalement peu d’espace. Quel serait le visage d’une ville accueillante envers les plus jeunes ? Modifierait-elle l’expérience de celles et ceux qui les accompagnent ? Irait-elle jusqu’à modifier la société toute entière ?
Une info à retenir :
La diminution de l'espace public disponible pour les enfants à considérablement diminué au fil des générations, ce qui a eu pour effet d'accroitre la pression qui pèse sur les parents. « Attention aux écrans! », nous répète-t-on inlassablement; « mais ne laissez pas vos enfants jouer dehors sans surveillance ! », ajoute-t-on. Le sociologue et chercheur français Clément Rivière commente : « Là où auparavant on priait les enfants d’aller jouer dehors le temps de faire le ménage ou de préparer le repas, on les invite désormais à s’installer devant leur tablette. Là où la responsabilité était auparavant perçue comme collective, elle est devenue individuelle. Faut-il s’étonner qu’on parle désormais de burn-out parental ? »
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2019 - BARRICADE - RECHERCHE ET DOCUMENTATION / ÉCRITURE
Si du point de vue statistique les familles occupent une place importante dans la capitale bruxelloise, l’urbanisme leur accorde finalement peu d’espace. Quel serait le visage d’une ville accueillante envers les plus jeunes ? Modifierait-elle l’expérience de celles et ceux qui les accompagnent ? Irait-elle jusqu’à modifier la société toute entière ?
Une info à retenir :
La diminution de l'espace public disponible pour les enfants à considérablement diminué au fil des générations, ce qui a eu pour effet d'accroitre la pression qui pèse sur les parents. « Attention aux écrans! », nous répète-t-on inlassablement; « mais ne laissez pas vos enfants jouer dehors sans surveillance ! », ajoute-t-on. Le sociologue et chercheur français Clément Rivière commente : « Là où auparavant on priait les enfants d’aller jouer dehors le temps de faire le ménage ou de préparer le repas, on les invite désormais à s’installer devant leur tablette. Là où la responsabilité était auparavant perçue comme collective, elle est devenue individuelle. Faut-il s’étonner qu’on parle désormais de burn-out parental ? »